Cabinet de Thonon les Bains!

Je vous présente le Cabinet de Thonon les bains dans lequel je travaille depuis bientot 2 ans:

Une equipe au top , une ambiance de geniale! Heureuse de faire partie de cette team Thonon 🙂

Message de ma collegue pour les fetes :

Cher Père Noel,

Cette année nous avons été très sages.

Par nous: j’entends évidemment tous les gentils patients qui,

-arrivons toujours ponctuellement ou presque à leur RDV.

-annulons un RDV avec au moins un délai de 48h ou alors amenons des chocolats pour s’excuser.

-faisons scrupuleusement les exercices qu’on nous conseille

Mais aussi je pense à nous, thérapeutes qui ne s’énervent jamais quand:

-l’informatique ou le réseau cafouillent

-on voit notre patient se redresser de la table droit comme un « i » alors qu’on vient d’ajuster ses lombaires fragiles

-on nous demande quelle est la différence entre chiro et osteo.

Alors,s’il te plaît, Père Noël, pour cette année, veux tu bien garder tout le monde en bonne santé?
Merci!

Et si tu n’y arrives pas tout à fait; envoie-les vers notre cabinet: on fera notre maximum…

Signé: Géraldine et Elodie

Toute l’équipe du cabinet vous souhaite un Joyeux Noël et une belle fin d’année.
Le centre Elochiro à Thonon-les-Bains reste ouvert pour assurer les soins:

-la semaine du 24/12 avec Géraldine
-la semaine du 31/12 avec Elodie

N’hésitez pas à nous solliciter par téléphone ou via doctolib.
Passez de belles fêtes!

L’équipe de Thonon les bains!!

Nouveauté de cette rentrée!!

Bonjour à tous,

Je suis heureuse de vous accueillir dans nos nouveaux locaux à partir du 30 Août 2021. Même adresse , seule la montée change, au 1 rue Dupanloup.

Au plaisir de vous revoir,
Prenez soin de vous

Présentation

Qui suis je?

De famille Annécienne, je suis née et j’ai grandir à Annecy , avant de partir étudier la Chiropraxie. Par la suite j’ai exercé pendant 3 ans dans le Sud-Ouest mais l’appel des montagnes fut plus fort!! Je suis revenue en 2019 pour ouvrir mon cabinet sur Annecy où j’ai le plaisir de vous accueillir pour prendre soin de vous! 

Douleur lombaire, plasticité cérébrale et manipulations vertébrales

Publiée dans The Journal of pain en décembre dernier, une étude conduite par une spécialiste de l’imagerie biomédicale de la faculté de médecine de l’Université de Harvard s’intéresse aux effets des thérapies manuelles sur le cerveau, en relation avec le ressenti de la douleur lombaire. Une recherche menée avec le concours de chiropracteurs.

Au cours des apprentissages et des expériences, la structure du cerveau se modifie, avec la fabrication de nouvelles connexions entre les neurones. On parle de « plasticité cérébrale » pour décrire cette capacité du cerveau à se façonner au gré de l’histoire vécue. Or la lombalgie chronique est associée avec des changements de la plasticité cérébrale.

Par ailleurs, on sait que les thérapies manuelles, en particulier la chiropraxie, montrent des résultats probants en termes de soulagement de la lombalgie chronique.

Aussi paraissait-il pertinent d’investiguer grâce à la neuroimagerie de potentiels mécanismes susceptibles d’expliquer l’impact des thérapies manuelles sur ces douleurs. Tel est l’objectif de l’équipe de chercheurs qui s’est intéressée aux effets des thérapies manuelles sur le cerveau, en relation avec le ressenti de la douleur lombaire.

Plus en détails, c’est l’effet des manipulations et mobilisations vertébrales sur la perception de la douleur  lombaire d’une part, et sur la connectivité du réseau de saillance au repos, d’autre part, qui a été étudié.  Le réseau de saillance est une structure cérébrale qui détermine, parmi la multitude de stimuli internes et externes, ceux qui sont signifiants et dignes d’attention.

Pour y parvenir, quinze patients lombalgiques chroniques ont subi une IRM fonctionnelle avant et juste après avoir reçu un acte chiropratique de mobilisation ou de manipulation vertébrale. Ces patients avaient également évalué la douleur ressentie avant et après l’intervention chiropratique.

Le cabinet reste OUVERT pendant le confinement

Bonjour à Tous  ,

Je vous informe que le cabinet de Chiropraxie reste OUVERT pendant le confinement !

Je continue de vous recevoir dans le respect des règles sanitaires instaurées depuis mai:


– port du masque OBLIGATOIRE.

– se laver les mains en rentrant dans le cabinet.

– venir sans accompagnant sauf cas particulier.

– le matériel utilisé sera désinfecté  et la pièce aérée entre chaque patient .

Il faudra simplement vous munir d’une attestation et de cocher : « Consultation et soins ne pouvant être assurés à distance » ( pour les attestations imprimées, indiquez l’adresse du praticien, la date et l’heure du RDV).

Prenez soin de vous et de vos proches !

Pour être en bonne santé : stop à la sédentarité !

Marchez !

Marcher améliore l’élasticité des vaisseaux, les protégeant ainsi de la formation d’anévrisme ou de la rupture.

Commencez par marcher 600 mètres, 300 à l’aller et pareil au retour, trois fois par semaine pendant un mois. Après cela, doublez la distance et efforcez vous d’atteindre une distance de 2km, trois fois par semaine.

Attendez-vous à ressentir des courbatures dans les mollets et les cuisses la première semaine.

Etirez-vous !

Il est essentiel de s’étirer afin d’éviter de se voûter du fait du raccourcissement des ligaments.

Etirez le bas de votre dos en vous asseyant au bord d’une chaise, les pieds au sol, le dos bien droit et les mains sur les cuisses. Penchez-vous légèrement en prenant appui sur vos bras. Descendez doucement jusqu’à sentir les muscles s’étirer. Maintenez la position 20 secondes et relâchez.

Etirez doucement les muscles de l’aine, en vous asseyant en tailleur, à même le sol ou sur un coussin.

Finissez par étirer les muscles de l’arrière des jambes. Restez assis à même le sol, les jambes tendues. Relevez la pointe des pieds vers vous et penchez votre buste doucement et progressivement vers l’avant.

Hydratez-vous en conséquence

Assurez-vous de boire assez d’eau. Au moins 30 ml d’eau par kilo de poids, soit 1,8 litre par jour pour 60 kg. Ajoutez à cela 0,5 à 1 litre d’eau par heure d’activité physique

Running : comment se motiver sans la perspective d’une course ?

Avec l’annulation des grandes courses de l’automne dans le contexte de crise sanitaire, il est parfois difficile de trouver la motivation pour sortir courir. Et non ! Le simple fait de se maintenir en bonne santé n’est dans la plupart des cas pas un argument suffisant pour convaincre de chausser les baskets ! Alors, on vous aide un peu !

Variez vos entraînements

Dans tous les registres de notre vie, nous installons des routines et nos entraînements sportifs n’y coupent pas. Distance, parcours… vous avez tendance à reproduire les mêmes séquences. Alors que la motivation inhérente à la préparation d’une course vous fait défaut, pourquoi ne pas varier vos entraînements et faire de la curiosité un moteur. Visiter de nouveaux quartiers en ville ou recoins de campagne. Découvrir de nouvelles sensations en changeant de revêtement. Tester vos performances en côte ou en fractionné. Changez vos habitudes !

Oubliez vos statistiques

Repensez à vos débuts en tant que coureur. Vous n’étiez sûrement pas obsédés par vos stats comme vous l’êtes aujourd’hui. Vous n’avez pas de perspective de course ? Profitez-en ! Retrouvez à chaque entraînement le plaisir et la facilité d’une course en endurance fondamentale. Courrez sans montre et sans téléphone, au rythme et sur la durée qui vous font du bien en termes de sensations.

Dites-vous que vous partez pour 15 minutes

Quand la motivation fait défaut, l’idée d’une sortie longue est un véritable repoussoir. Au contraire, se motiver pour un décrassage est bien plus aisé ! Si après 15 minutes, le plaisir de courir ne se manifeste pas, rentrez ! Rien ne vous contraint à poursuivre. Et enorgueillissez-vous d’avoir fait cet effort que tout le monde ne fait pas, réjouissez-vous d’avoir pris l’air !

Mettez-vous aux podcasts

Pour penser à autre chose qu’à l’effort tout le long de votre entraînement, pourquoi ne pas vous mettre aux podcasts ? Profiter de votre course pour écouter un livre, un documentaire ou tout autre contenu sonore qui captera votre attention peut vous permettre d’en allonger la durée sans même le voir passer !

Rentrez du travail en courant

De quoi a-t-on moins envie encore que de courir en temps de pandémie ? De prendre les transports en commun ! A défaut de trouverez la motivation de courir, vous appuierez votre effort sur la motivation à rentrer chez vous.

Participez à une course virtuelle

Si vous avez irrémédiablement besoin d’une course, d’un chrono, comme objectif : inscrivez-vous à une course virtuelle. Et pour redoubler de motivation, positionnez-vous sur une course à vocation caritative comme Odyssea qui se court partout en métropole et Outre-mer au bénéfice de la lutte contre le cancer du sein. Un conseil néanmoins, si vous prépariez un premier semi-marathon ou un premier marathon, réfléchissez bien avant de vous inscrire à une course virtuelle sur ces distances. Quand vous préparez ces distances, vous vous préparez aussi pour un événement d’autant plus riche en émotions qu’elles sont partagées par un large collectif de coureurs et soutenues par un public en liesse, que vous ne retrouverez naturellement pas sur une course virtuelle.

En voiture ou en avion, prévenir les douleurs du voyage

Voyager met le corps à rude épreuve. Pour éviter d’arriver en vacances fatigué et stressé, le corps raide et endolori, après de longues heures de voiture ou d’avion, l’AFC délivre une série de conseils avisés !

Echauffez-vous ! Rafraîchissez-vous !

Un voyage, c’est un peu comme un entraînement sportif ! On s’échauffe avant de prendre place dans la voiture ou l’avion et on se rafraîchit régulièrement et une fois arrivé à destination. Et on marche d’un pas rapide pour dégourdir ses mollets engourdis.

En voiture

  • Ajustez le siège de sorte à ce que vous soyez proche du volant mais également confortablement installé. Vos genoux doivent être légèrement plus hauts que vos hanches. Placez vos doigts sous vos cuisses, au plus proche de vos genoux. Si vous ne pouvez pas facilement les glisser en avant et en arrière, réajustez votre siège.
  • Utilisez un coussin dorsal. Utiliser un coussin derrière votre dos peut réduire le risque de tensions, de lombalgie ou de blessures. Il doit être placé entre votre cage thoracique et votre taille.
  • Pour éviter que vos jambes ne gonflent, pratiquez ces exercices pendant que vous conduisez : écartez les orteils autant que possible et comptez jusqu’à 10 ; contractez vos mollets et comptez jusqu’à 5, puis vos cuisses, puis vos fessiers. Pour éviter la fatigue et l’inconfort : roulez les épaules d’avant en arrière… en vous assurant, bien sûr, de garder les mains sur le volant et les yeux sur la route !
  • Pour limiter la tension dans les bras et dans les mains, tenez le volant à 3h et 7h. Changez de temps en temps pour 5h et 10h.
  • Ne vous agrippez-pas au volant ! A la place, serrer et desserrer les mains pour améliorer la circulation dans vos mains et abaisser la fatigue musculaire dans vos bras, poignets et mains.
  • Toujours en s’assurant de bien garder les yeux sur la route, changez de point focal pendant la conduite réduit le risque de fatigue oculaire et de maux de tête.
  • Faîtes des pauses.

En avion

  • Tenez-vous droit et ressentez la courbe en « S » de votre colonne vertébrale. Puis utilisez des coussins pour maintenir cette courbe quand vous êtes assis dans votre siège. Placez un coussin dans votre dos juste au niveau de la taille et un autre derrière votre nuque.
  • Enregistrez tous les bagages dont le poids est supérieur à 10% du vôtre. Quand vous soulevez vos sacs à main ou vos sacs à dos, tenez-vous bien droit devant le compartiment à bagage de sorte à éviter les rotations.
  • Lorsque les rangements sont en dessous du siège, ne forcez pas un objet à rentrer d’un mouvement violent des jambes, des pieds ou des bras. Cela peut provoquer une élongation ou des spasmes dans les muscles des cuisses et du bas du dos. Asseyez-vous d’abord confortablement avant de guider doucement votre sac sous le fauteuil avec vos pieds et vos mains.
  • Quand vous êtes assis, changez de position de temps en temps pour améliorer la circulation et éviter les crampes dans les jambes. Massez vos cuisses et vos mollets. Remontez vos jambes et bougez vos genoux de haut en bas. Surélevez vos jambes en posant les pieds sur un sac devant vous.
  • Ne vous asseyez pas sous l’arrivée d’air. Un courant d’air peut favoriser la tension dans votre cou et vos épaules.